Attente
En soupirs de lune
D’une passacaille voluptueuse.
Des senteurs musquées.
L’archet légèrement recourbé
Prolonge le branle du chant nocturne
La viole pleure
Hèle le violon masqué sur la lagune. Venise est en fête.
Une pluie d’étoiles sur le ponton.
Des corps dénudés aux gracieuses blancheurs
Les seins bandés
Les dents diamants mordillant un vit en figure de proue.
L’archet n’en finit pas jusqu’aux soupirs ultimes.
Les cordes pleurent des larmes.
Une passacaille sur la lagune.
La plume de l’oiseau de proie.
Jouissance et douceur.
Ce fut la tienne.
J'aime vos paroles,
RépondreSupprimersi rougissantes, si languissantes.
Cette passion tellement bien exprimée de vos mots, la passion, pas sillon, mais sable.
Vos mots comme des sables (é)mouvants.
Le sable sur lequel je vis est un sable aux odeurs marines, c'est aussi le sable du désert le sable rouge et la couleur de ma peau se transforme.
RépondreSupprimerMes cheveux sont rouges et mes yeux brillent.
Mon corps s'introduit dans le sol. J'écoute le gémissement du faon.
Cc.
Une musique puissante
RépondreSupprimerLes corps qui vibrent
Caresses et obséssion
Un corp à corps mouvant